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Une nouvelle mode consiste à utiliser internet pour propager de la désinformation

Il existe de nombreuses méthodes très efficace et totalement gratuite pour faire le buz sur internet. Cet outil est devenu une mine d'or pour les institutions et les structures qui souhaitent promouvoir leurs services et leurs prestations pour un moindre coût. Mais ce média reste un des plus puissants pour faire connaître son produit sans trop de budgets, il l'est également pour ceux qui veulent salir les marques dans le but de lui porter atteinte pour récupérer sa clientèle !

Des agissements que je condamne personnellement

Je ne suis pas une personne qui convoite autrui et qui est prête à vendre son âme au détriment de quelqu'un d'autre. J'ai toujours eu pour ambition de faire les choses dans la légalité et de toujours assumer mes erreurs. Mais de là à utiliser le net comme le font certaines entreprises pour profiter de ce vecteur d'informations afin de faire transiter des rumeurs et mensonges, alors là je peux vous garantir que je ne franchirai pas le cap. Et pourtant, il existe tellement de personnes sans morales capables de le faire !

Je pourrai par exemple citer cette mauvaise expérience qu'a vécue l'assureur IAG qu'on retrouve sur www.assurance-iag.com , au travers d'une opération de désinformation basée uniquement sur le pouvoir de transition de l'information apportée par internet et les réseaux sociaux. Il suffit de créer un faux article ou un faux témoignage sur un groupe de défense des consommateurs pour voir des centaines de personnes crédules partager l'article et propager à leur insu un bruit de couloir voué à faire le buzz pour salir la réputation d'une entreprise qu'il ne connaissait même pas à l'origine.

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Mais comment est-il possible d'utiliser la crédulité des gens si facilement ?

C'est très simple. Nous vivons à une époque où il est toujours plus important d'être l'initiateur d'une information vouée à sauver ses amis et ses proches. Être le premier à publier sur son mur facebook une information pour prévenir les autres est presque devenus un sport national. Le besoin de reconnaissance et parfois de l'altruisme pur qui découle de ces agissement, n'en fait pas moins un acte de collaboration de diffamation ?

Même si le responsable premier reste la personne qui a écris la rumeur, la personne qui la propage à son insu se voit alors gratifiée d'une pratique douteuse et immorale. Et c'est bien pour ça qu'il faut toujours vérifier les sources avant de partager un article sur son Facebook ou de de commenter avec virulence une informations non contrôlée sur un forum de discussion. Mais à une époque où tout va toujours plus vite, ou tu est toujours plus urgent, combien de fois a-t-on pris le temps de vérifier qu'une information que l'on relaye était en fait véritable ?

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